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Expressions politiques du 04-03-2024

Publié le 04-03-2024

Changer Lons de Cap
Pour une ville toujours plus agréable, au service de tous les Lédoniens

Afin de répondre aux enjeux de la transition écologique, la majorité municipale travaille depuis juillet 2020 à la végétalisation de ses espaces publics.

Après les écoles Richebourg et Jacques Prévert, c’est au tour de celle de François Rollet de bénéficier en 2024 d’une végétalisation de la cour d’école. Les travaux débuteront le 8 juillet 2024.

L’esplanade de la Maison commune, à proximité de l’école François Rollet, sera également végétalisée. Ce travail sera mené avec la Maison Commune avec comme volonté de créer un chantier participatif.

La place de la Liberté, l’un des symboles de notre centre-ville et lieu de vie pour le monde associatif, sportif et culturel sera elle aussi, malgré les contraintes de son architecture, végétalisée.

Ces travaux visent à améliorer l’embellissement de notre ville et la rendre plus agréable et attractive. En outre ils permettent de lutter face au réchauffement climatique en offrant des îlots de fraîcheur à tous les lédoniens.

La Ville de Lons-le-Saunier mène également, dans le cadre de l’Opération Cœur de ville, des rénovations d’habitat et la projection de construction de nouveaux logements, dans un premier temps sur l’îlot des Salines.

Ce programme vise à revaloriser l’un des quartiers emblématiques de Lons, idéalement situé en entrée de ville et non loin des rues commerçantes. Là encore, la végétalisation de l’espace concerné fait partie des travaux prévus. La volonté de notre majorité est d’offrir des logements décents et de qualité quelque soit le niveau de revenu.

Enfin notre municipalité inscrit dans la durée ses politiques menées par son C.C.A.S en faveur de tous les publics et de tous les âges. En effet, ces politiques nous accompagnent en tant que lédonien tout au long de notre vie : du plus jeune âge jusqu’à nos dernières années, tant dans les difficultés rencontrées que pour les moments de joie : personne n’est oublié. C’est l’engagement de l’action de la majorité municipale.

La Majorité municipale Changer de cap


Lons Avenir
Il faut avoir la foi pour siéger au Conseil Municipal de Lons !

Extrait de notre intervention – séance du Conseil Municipal du 12 février 2024

« Le débat public est une nécessité de la vie démocratique. Il permet de confronter les points de vue et doit permettre au groupe majoritaire d’éviter l’écueil de l’autosatisfaction. Mais ce débat ne peut vivre à n’importe quel prix ! Nous nous sommes toujours efforcés d’être dignes, nous nous sommes toujours efforcés d’être respectueux et nous avons toujours tenté de vous apporter avec humilité notre expérience et notre analyse.

En retour, depuis plus de 3 ans, nous sommes soumis au mépris et à la suffisance. Mépris permanent à l’égard des réalisations des mandats précédents, mépris envers ceux d’entre nous qui n’ont pas la clairvoyance de partager votre vision. En décembre, un cap a été franchi par l’adjointe en charge de la cohésion de la ville. L’avocate qu’elle fut n’a pas choisi ses mots au hasard. Ses propos étaient injurieux.
L’engagement politique exige beaucoup de nous ! Souvent, nos activités professionnelles et nos familles en pâtissent mais lorsqu’il est fait avec sens, avec respect et avec aboutissement, alors cet engagement nous porte. Notre collègue Grégory Sourd, meurtri par les derniers propos de Mme Paraiso, en tant qu’élu et commerçant, a donné sa démission ce vendredi 9 février. Il se recentrera sur ses priorités familiales et professionnelles loin des railleries. Nous le remercions pour son investissement politique animé par la volonté de dynamiser le territoire et de rendre à cette ville sa place de Capitale du Jura.

Dans ce contexte général, nous avons décidé de boycotter la commission Animation tant que Mme Paraiso, adjointe et co-animatrice, ne nous aura pas présenté ses excuses ainsi qu’aux commerçants lédoniens qui sont en droit de les attendre. Cette situation inédite nous appelle à un constat ! ll faut avoir la foi pour siéger en ces lieux ! »

Lons Avenir,
avec Sophie OLBINSKI, Christophe BOIS, Emily MINAUD, Agnès CHAMBARET,Anne GRANDCLEMENT CHAFFY, Philippe GRICOURT


Jean-Philippe Huelin et Catherine Clerc
Hôpital et descente de Montaigu :
cela ne concerne pas Lons ?

Jean-Yves Ravier ne sait plus vraiment où il habite et de quelle ville il est le maire. Lors du dernier conseil municipal nous lui avons posé deux questions sur ces sujets qui font l’actualité. Par deux fois, il a « botté en touche » selon l’expression journalistique consacrée.

Hôpital : « En ce début d’année, un collectif de patients dénonçant les dysfonctionnements de l’hôpital s’est constitué. Un certain nombre d’articles de presse et de sujets télévisés s’en sont fait l’écho. Suite à ces publications, de nombreux usagers s’interrogent. Notre hôpital est-il « détraqué » pour reprendre l’expression du Parisien ? En tant que président de conseil de surveillance de l’hôpital, vous ne vous êtes pas exprimé sur ce sujet. Après ce que vous avez appelé le « sentiment d’insécurité » dans les rues de Lons, serait-ce un nouveau « sentiment d’insécurité », sanitaire cette fois ? Ne serait-ce qu’une illusion collective ou le problème est-il bien réel ? Quelle est votre position sur ce dossier ? »

Réponse du maire : cela ne concerne pas la ville.

Descente de Montaigu : « Depuis le début du projet, on nous a expliqué que pour assurer la sécurité des voitures venant des Rochettes et souhaitant rejoindre le pont de Perrigny, il ne fallait pas mélanger ce flux avec les camions. Aujourd’hui, il semble que devant le refus de payer le raccordement à la route de Conliège via l’entreprise JTD par ECLA et/ou le Conseil départemental, cette solution soit écartée. Pour ne pas enclaver les habitants des Péroseys, on envisage de ne finalement rien changer à l’existant. Ce revirement est préoccupant pour la sécurité des usagers. Cet aménagement de la descente de Montaigu pour les poids lourds ne va-t-il pas se faire au détriment de la sécurité des usagers lédoniens ? »

Réponse du maire : cela ne concerne pas la ville.

Un maire qui se sent si peu concerné pas sa ville et ses habitants devrait faire autre chose. Et si c’est lui qu’on bottait en touche en 2026 ?

Catherine Clerc – Jean-Philippe Huelin
Groupe indépendant
jphuelin@orange.fr